La bioénergie forestière est appelée à prendre une place de plus en plus importante dans l’offre énergétique québécoise, en complément de l’hydroélectricité. Elle pourrait ainsi contribuer à combler des besoins dans des secteurs où de grandes quantités de combustibles fossiles sont encore consommées, notamment dans les transports ainsi que dans les secteurs industriel et institutionnel, pour le chauffage des bâtiments.
Explorez les sentiers de cette forêt mixte luxuriante, un enchantement à toutes les saisons! Que vous optiez pour une randonnée estivale paisible ou une escapade hivernale en raquettes, vous serez captivé par la diversité des essences d'arbres qui peuplement ce paysage enchanteur. Les majestueux sapins, épinettes, bouleaux et pruches se donnent rendez-vous pour une symphonie naturelle le long des rives de la rivière parcourant le domaine. Avec les conditions hivernales...
Si l'aventure en plein air vous appelle, le Sentier National s'étend sur 170 km, vous offrant une expérience de randonnée inégalée. Nous avons eu le privilège d'explorer une portion de ce sentier emblématique, connu sous le nom du Sentier Swaggin. C'est un lieu enchanteur ou il est possible de retrouver une forêt dense et une cascade impressionnante.
En 1835, le village de Sainte-Mélanie commençait tout juste à se développer et les forêts de Sainte-Béatrix et de Saint-Jean-de-Matha n'étaient fréquentées que par quelques bûcherons. Les seigneurs propriétaires de ces terres n'avaient pas encore concédé de lots dans ces secteurs inaccessibles, mais ils y avaient soigneusement recensé tous leurs érables à sucre puisque c'était une précieuse source de revenus...
Au XIXème siècle, l'industrie forestière était diversifiée. Une partie de la production était exportée mais le marché intérieur était encore le plus important. Le bois de chauffage représentait à lui seul une bonne partie de la production. Avec le début de l'urbanisation, il a fallu construire des maisons rapidement, produire des madriers, des portes, des fenêtres, des bardeaix... Beaucoup de manufactures ont été créées pour répondre à cette nouvelle demande et ces...
Les moulins à scie du village d'Industrie ont été construits en 1823 et 1837 pour exploiter le bois du haut de la seigneurie de Lavaltrie mais la ressource en bois de pin blanc a rapidement été épuisée et il a fallu aller récolter les arbres de plus en plus loin. En 1842, Barthélémy Joliette et Peter-Charles Loeadel ont obtenu une première concession de coupe de bois sur les terres de la Couronne au nord des seigneuries de Ramsay et Dailleboust...
Vers 1800, le bois des forêts de pin de Lanaudière a commencé à être exploité commerçialement pour être exporté vers l'Europe. Les terres situées au bord du fleuve St-Laurent avaient déjà été exploitées et les commerçants de bois ont dû aller s'approvisionner de plus en plus haut sur ses affluents. En 1811, un moulin à scie avait été construit sur la rivière Ouareau à la limite de Rawdon, en 1823 celui du villafe d'Industrie a été bâti sur L'Assomption, d'autres avaient été construits sur les rivières Bayonne et Maskinongé.
Chaque ville devrait avoir un espace naturel où peuvent se diriger les citoyens afin de s'y ressourcer. C'est le cas du sentier du parc du Brois-Brûlé, joli boisé situé à Saint-Charles-Borromée. Comportant un court sentier de 1,3 km, il est très agréable de s'y promener. La première section du sentier est recouverte d'un tapis de fougères suprenant. On y retrouve également l'intrigante aubépine et le troublant peuplier à grandes dents. Le sentier se termine sur une section plus ouverte, surplombée de grands pins blancs.
Les chutes Dorwin qui se trouvent dans le village de Rawdon sur la rivière Ouareau sont une attraction touristique populaire. C’est un Américain du Vermont qui leur a donné son nom. Jedediah-Hubbell Dorwin est né en 1792, il est arrivé au Canada vers 1815 pour faire du commerce. Parti de peu il s’est rapidement construit un réseau d’affaires. En 1826, il faisait partie des dirigeants de la grande loge maçonnique de Montréal. Parmi les membres, on retrouvait de nombreux marchands écossais et américains dont Peter McGill et Henry McKenzie qui ont possédé des moulins à scie sur la rivière Ouareau.